Les journées sur Toulouse ce suivent et ce ressemble, on continue les ventes, et on regrette de voir partir des outils qui pourrait rendre des services supérieur à la valeur de leur vente.

Cette dépossession matériel, sans avoir vendu la maison, a un impact négatif sur notre moral. On a une sensation de « régression », on est propriétaire d’une maison vide, donc inutile. Il est difficile de ce projeter dans notre projet sans avoir de date, et vider la maison nous donne la sensation de retour impossible. On est donc entre deux états, celui de  » métro boulot dodo  » et celui de « globe-trotter ». Et le fait d’être stationné devant la maison accentue le malaise.

Je pense qu’il est urgent que l’on reparte en vadrouille.

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